L’article sans nom
Finir ses études, commencer à travailler, rentrer dans le système, dans « le moule » permet d’apprécier, à leur juste valeur, les trop courts week-ends (hmm les 35h… ils ont pas été jusqu’au bout du truc… Avec moi, ç’aurait été les 21h… Bah oui, trois jours de travail pour quatre jours de fin de semaine). Le moindre loisir ou moment de détente est vécu de la plus intense des manières ! Ces moments permettent de renouer notamment avec les plaisirs de la lecture dont, personnellement, j’avais pu m’éloigner au profit du passe-temps plus abrutissant qu’est la navigation aveugle et vaine sur l’Internet… Lire la suite…
Live report : Dropkick Murphys à l’Olympia
Ma première chanson des Dropkick Murphys doit remonter à mes 14-15 ans, dans ces eaux là. A l’époque, j’avais récupéré je ne sais plus où une compil de punk. Si ma mémoire est bonne, la troisième chanson c’était « The Auld Triangle ».
Quelques années plus tard, « I’m shipping up to Boston » dans une B.O. de film me donne envie de fouiner dans ma pile de vieux CD, le virus reprend.
Toujours dans la série des bons flyers distribués devant le Zenith il y a quelques temps, je découvre avec joie et surprise que les ricains de Dropkick Murphys font une date à Paris ! Aujourd’hui, nous y voilà ! 🙂
Live report : Persistence Tour [Crushing Caspars, Lionheart, Walls Of Jericho, Terror, Biohazard, Suicidal Tendencies] au Bataclan
Yarr ! Et non, je ne suis pas morte ! Contrairement à ce que mon très peu d’articles du moment laissait présager, tel le phénix …. ce n’est pas la fin, etc. Insérez ici un léger bullshit métaphysique, rétrospectives, ainsi qu’une introduction amusante et bien trouvée.
– 10. Pas tant que les degrés ressentis aujourd’hui que mon nombre de minutes d’avances devant les portes du Bataclan tout à l’heure. Je dois avouer que de décoller de sa case à 16h pour aller à un concert, c’est passablement étrange. Un parfum d’inédit pour la soirée donc. Et pour cause, un groupe que j’attends depuis des années passe enfin à Paris (et ce coup ci, je suis au courant et je ne découvre pas 30 minutes avant l’existence d’un concert …) : Suicidal Tendencies ! Une flopée d’autres groupes plus ou moins inconnus au bataillon, ça s’annonçait plutôt bien au vu de la tête du flyer qu’on m’avait mis dans les mains devant le Zénith …
Retour àTree Hill… pour la dernière fois
A la fin de Dawson, j’avais juré qu’on ne m’y reprendrait plus. Plus jamais je ne serai accro à ce point à une série, jamais (oui, j’étais jeune… mais j’assume !). Ma résolution n’a duré que quelques semaines, jusqu’à ce que je regarde One Tree Hill (les Frères Scott en français).
A l’occasion de la saison 9, qui commence cette semaine sur les écrans américains et qui sera la dernière (cette fois, c’est sur), j’avais envie de vous parler de cette série qui est mon péché mignon depuis 7 ans… Lire la suite…
Comment voir un cirque… invisible ?
Paris est aujourd’hui le point de rencontre des descendants de la famille du grand Charlie Chaplin. Alors que James Thiérrée, petit fils de Charlie Chaplin, se produit jusqu’au 10 janvier 2012 au théâtre de la ville dans son spectacle « Raoul », sa maman (Victoria Chaplin née en 1951) et son Papa (Jean-Baptiste Thiérrée né en 1937) se produisent dans le même temps dans leur étonnant « Cirque Invisible » au théâtre du Rond-Point. Lire la suite…
Albums de démission
Aujourd’hui les enfants, je vais vous parler d’un « style » d’album assez peu connu, et pourtant ô combien jouissif. Je veux parler des albums en forme de lettre de démission, de gros fuck lancé à la face de la maison de disques. Ils peuvent servir aux artistes à se faire virer d’une major trop contraignante, ou tout du moins à emmerder sérieusement tout ce beau monde. Mais ces albums n’en sont pas moins des petites pépites pour les amateurs de bizarreries en tout genre comme moi. Il s’agit généralement d’albums tordus, extrêmes, souvent très drôles, parfois difficilement écoutables, mais toujours entiers, sans aucune forme de concession. A l’opposé total de la musique mercantile et formatée. Alors, foutages de gueule ou coups de génie ?
Expo photo : Lewis Hine à la Fondation Henri Cartier-Bresson
Pour la première fois depuis un bail, je me suis réveillée à l’aube le samedi matin. Pas d’incendie, de maladie infectieuse nécessitant une hospitalisation rapide ou une chute inopinée du haut de ma mezzanine mais une expo photo !
Quand Suzou m’a dit « On va à la fondation Cartier Bresson ? », vous vous doutez bien que j’ai bondi sur l’occasion de retourner dans ce lieu si chouette où nous avions déjà été voir l’exposition sur Harry Callahan (au merveilleux tarif -26 ans de 4 euros).
Pour le plaisir des yeux, un autre article à deux mains de la team Suzou-Playne ! Youhouhou !!
Live report : Shaka Ponk au Zénith
Et oui, trois fois en un mois, ça commence à nécessiter une carte de fidélité …
La saison 2012 des concerts est définitivement sociable (cf théorie évoquée il y a peu dans mon article sur Volbeat), et c’est donc en charmante et rousse compagnie que je me suis rendue avec un enthousiasme non feint et des vieilles courbatures datant du concert précédent à Porte de Pantin pour rejoindre mon nouveau QG.
Shaka Ponk m’avait été décrit il y a un an et des briquettes (à vue de nez de Cyrano) comme un truc que je devais absolument écouter, un must have total, le meilleur groupe du monde, etc.
Après avoir tourné sur leur discographie avec enthousiasme pendant un bail, et attendu leur dernier album comme une espèce de mini-messie musical, je peux vous dire que j’étais passablement survitaminée à l’approche du concert, Shaka Ponk ayant un effet totalement euphorisant. C’est simple, lorsque j’enchaine 3 ou 4 chansons du groupe, j’en bondis tel un kangourou…
La couleur des sentiments : livre vs film
Même si le titre (français) me paraissait un peu gnangnan, j’ai acheté le livre de Kathryn Stockett un peu par hasard à Noël dernier, pour l’offrir. Je l’ai lu cet été, et je ne regrette pas, j’ai eu une bonne intuition ! Alors quand j’ai vu qu’il avait été adapté en film, et que ce film était resté 3 semaines en tête du box-office américain, ce qui semble étonnant vu le sujet et l’absence d’effets spéciaux démesurés et de 3D, je me suis aussi précipitée pour aller le voir… Lire la suite…